Libreville, (GM)- D’après une certaine presse clairement sous influence, des agents de la Direction générale des Transports Terrestres dénonceraient la gestion sans visibilité du directeur général, Anatole Kabounou Onkoni. Mais de quelle mauvaise gestion parle-t-on quand les mauvaises habitudes ont la peau dure ?
Une petite musique se fait entendre, depuis plusieurs mois plus insistante. C’est en tout cas ce que l’on entend auprès d’une certaine presse locale concernant le directeur général des Transports Terrestres, Anatole Kabounou Onkoni
Le bimensuel Échos du Nord indique dans son numéro du 4 février dernier, “ces derniers temps les agents dénoncent une gestion sans visibilité.” Selon l’article de notre confrère “le DGTT est le seul signataire de tous les documents afférents à la circulation routière. Les agents n’hésitent plus à se reprendre sur son incompétence. Toute chose, estiment-ils qui tranche avec la réputation de cadre outillé du ministre de tutelle, Brice Paillat, énarque accompli.”
Il poursuit plus loin “Que lui manque-t-il alors pour mettre fin au vil et piètre visage que présentent certains services techniques ? Bien que des mobiles pour évincer certains foisonnent. Vu cet état de choses, les agents pensent qu’à ce niveau de ses responsabilités il n’a point besoin de l’Anavea à cet effet.” Peut-on lire.
Occupé un poste de responsabilité c‘est se mettre au service de son administration d’une part, de la société ainsi que des valeurs qui la fondent d’autre part, le cas Anatole Kabounou Onkoni. Mais, au lieu de reconnaître le bien-fondé de ses directives, la petite musique alimente l’ère du soupçon contre cet énarque de la République, et c’est probablement son but caché étant entendu qu’elle sert d’écran de fumée pour masquer les réelles avancées dans cette administration. Tous les jours, les prétendus agents bataillent contre ce qu’ils qualifient de gestion opaque du DG, pourtant ce sont eux-mêmes apparemment, le problème car nourris trop longtemps au lait de vache.
À travers cette presse à la solde du plus offrant, ces derniers accusent Anatole Kabounou Onkoni des pires maux, avec une proprement sidérante titraille : “Gestion de la DGTT à visibilité nulle”. Pourquoi? Difficile de savoir devant un discours qui livre, sans scrupule, l’un des meilleurs collaborateurs du ministre de tutelle, partant du chef de l’État à la vindicte populaire.
À vrai dire, cet article est d’un ridicule, et il suffit de le renverser pour en révéler l’absurdité. Pour rappel, depuis son arrivée à la tête de cette direction l’on note entre autres :
– l’octroi de la prime de rendement ;
– la réouverture du bureau de la direction des transports terrestres d’owendo (Workshop);
– la nouvelle loi d’orientation sur les transports terrestres…
Ainsi, le directeur général des Transports Terrestres, Anatole Kabounou Onkoni, loin d’être le dangereux personnage peint par ce journal, s’inscrit pleinement dans la vision des plus hautes autorités du pays, une orientation mise à exécution pour le bien commun
GM