Libreville, (GM)- Dans le sillage de l’action sociale initiée l’an dernier avec un établissement scolaire d’Alenakiri dans la commune d’Owendo, la Société Gabonaise d’Entreposage de Produits pétroliers a offert à cinq écoles primaires de Libreville, ce mercredi 5 octobre, un don en produits et matériels divers.
Soucieuse d’assumer pleinement sa responsabilité sociétale face aux problématiques communautaires qui émaillent le quotidien des populations, l’entreprise dit, à travers cet acte, s’inscrire dans la philosophie du chef de l’Etat qui attache un prix particulier à des conditions d’apprentissage de qualité pour les jeunes apprenants gabonais.
Pour cette action spéciale, les établissements retenus sont les écoles publiques de Sotega, Saint Michel, Cité Mébiame, Nzeng-Ayong Lac et celle dénommée Divin Amour. Les dons distribués sont essentiellement composés de produits d’hygiène et d’entretien, ainsi que de matériels didactiques et pédagogiques.
Au-delà de ces dotations répondant à des besoins exprimés en amont, l’entreprise a également mobilisé pour l’occasion des équipes chargées de procéder à la désinfection et au nettoyage des abords immédiats de ces lieux d’études. Ceci pour coller au credo « J’aime mon école et je protège son environnement ». Toute chose devant permettre aux élèves d’acquérir les bases d’une fibre environnementale durable.
Décidément engagée à contribuer d’une certaine manière à la formation citoyenne des élèves gabonais, la Sgeep, par la voix de son directeur général Andy Félix Makindey Nze Nguema, s’est aussi donnée comme objectif de fournir auxdits élèves les rudiments d’un apprentissage à l’agriculture. Cet aspect devant être traité avec les responsables des cinq écoles gratifiées, notamment pour la mise en disposition d’espaces dédiés à cette matière.
Visiblement heureuses de recevoir ces dons dont elles ont affirmé tirer un certain soulagement, les équipes dirigeantes respectives de ces établissements ont exprimé leur gratitude à l’égard de l’entreprise donatrice. Non sans en demander davantage au regard de la multiplicité des difficultés auxquelles elles sont confrontées au quotidien.
SR