Libreville, (GM)- Le ministre de l’Education Nationale, Camélia Ntoutoume Leclerc, a reçu le lundi dernier ses collègues du transport et celui de l’Enseignement Supérieur pour examiner les modalités pratiques de la mise en œuvre de la gratuité du transport scolaire annoncé par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba.
« Il était question de regarder ensemble ce qui peut être fait techniquement, quelles sont les contraintes d’exploitation, quel est le niveau de la population scolaire donc le nombre d’élèves à transporter, quels sont les différents coûts qui seront engendrés et générés par cette mesure la », a déclaré le ministre des Transports, Brice Constant Paillat.
C’est lors de sa traditionnelle adresse à la nation relative à la commémoration de l’indépendance du pays que le président de la République gabonaise, Ali Bongo Ondimba a décidé de la gratuité des transports scolaires dès la rentrée des classes prochaine.
« Dès la rentrée prochaine, ce sont environ 10.000 nouvelles places en primaire et au secondaire qui seront créées dans le pays. Cet effort sera poursuivi et intensifié pour qu’à la rentrée 2023, 20.000 places supplémentaires soient disponibles pour nos enfants. », a annoncé le président Ali Bongo.
Le gabonais