Libreville, (GM) — il y a à peine moins de quatre à six mois, personne ne pariait sur la capacité du « mouvement Gabao » de Franck Nguema, de prendre un envol dans l’arène politique nationale. Le bébé a déjà sorti les crocs, pour parler comme au quartier. Avec une vision et des ambitions de faire la politique vraie et pour tous, le « mouvement Gabao» démontre sa capacité via un maillage du territoire national, au travers de l’adhésion des membres et sympathisants par rapport aux idées novatrices qu’il égrène.
Quand on a une ambition et une vision nouvelles en politique, on ne peut qu’admirer la force du « mouvement Gabao », qui prend de l’ampleur. Après le Grand Libreville, et pour faire mentir que ce mouvement n’est pas seulement dans cet espace urbain, le « mouvement Gabao » a donc décidé de s’étendre dans les autres recoins de la République. Afin d’aller porter sa vision politique et expliquer les enjeux de sa mise en place auprès des habitants visités. Et pour cause.
Un mouvement politique se réclamant national ne saurait alors se cloitrer en un seul lieu. Le « mouvement Gabao » caresse et martèle qu’il est une force politique avec laquelle il faut désormais compter, va à la rencontre de tout le monde sur toute l’étendue du territoire. La preuve, avec l’étape de la province du Woleu-Ntem, dans le nord du pays, où ce mouvement, avec à sa tête Franck Nguema, était présent le samedi 20 juillet dernier.
Dans le septentrion, notamment dans le chef-lieu du Ntem, Bitam, la caravane a été reçue dans un enthousiasme et une effervescence militante.
Le président dudit mouvement et sa suite ont été époustouflés par l’accueil des Bitamois rencontrés. En bâtons rompus et sans filtre, la délégation a échangé avec plusieurs habitants des quartiers Mimbang, Akue Essimgane, Est-résidentiel, Est-haoussa et Mongomo Assi.
Au cours de ces échanges, le leader de ce mouvement a développé l’essence même de son projet politique qui prend en compte la dimension de mettre à l’honneur l’homme quel qu’il soit au centre de sa vision novatrice. Tout en expliquant les tenants et les aboutissants du « mouvement Gabao », il n’a pas manqué de réitérer son leitmotiv de haute portée sociale, à l’instar de l’employabilité des jeunes, de la revalorisation des allocations sociales et de l’égalité de tous. Autrement dit, le mouvement Gabao a pour crédo ou tryptique : justice, équité et prospérité au profit du plus grand nombre. In fine, pour le développement du Gabon.
Un projet porteur qui ne manque pas de captiver l’attention de ses concitoyens, partout où Franck Nguema passe. Lequel a insisté auprès de son auditoire que, pour mieux atteindre ces objectifs, ses compatriotes sont appelés à rejoindre son mouvement. Pour ce faire, dans la foulée de ces échanges, Franck Nguema a profité de sa présence à Bitam pour installer les délégués des comités locaux. Une autre façon d’implanter, mieux de renforcer la présence du « mouvement » dans la contrée.
Concernant l’implantation et le renforcement du « Mouvement Gabao », il faut dire que ce jeune mouvement politique bouscule les équilibres. Telle une météorite et étonne et détonne d’un au sens propre du terme, par sa capacité à fédérer les Gabonaises et les Gabonais autour de sa vision politique. À ce jour, le « mouvement Gabao » compte plus de 31 000 adhérents. Des adhésions qui ne relèvent pas de la fiction. Mais bien de la réalité.
Autrement dit, le « mouvement Gabao », tout en fourbissant ses armes, constate que son projet ne cesse de mobiliser autour de lui. C’est le résultat de la marque des gagneurs déterminés. Et son président, Franck Nguema, a de l’énergie et du volontarisme pour amener plus haut son mouvement.
Kevin aymard Lelengui