Libreville, (GM)- Dans le cadre de la mise en œuvre de la politique sociale du chef de l’État Ali Bongo Ondimba, le cadre du parti démocratique gabonais (PDG), Félix Makindey Nze Nguema, a effectué le week-end écoulé une visite des différents chantiers initiés dans le deuxième arrondissement de la capitale gabonaise.
À l’approche de la saison des pluies et de ses impondérables, tels que les inondations qui surviennent en pareille période, ou encore les éboulements qu’elle occasionne, le cadre du parti au pouvoir est allé toucher du doigt l’état d’avancement de la construction de trois passerelles dont avaient énormément besoin les populations des quartiers concernés.
« Lors de la tournée du chef de l’État du 12 mars en différé, il avait demandé que nous soyons tous sur le terrain. En celà, le cadre politique que je suis et ma suite avons décidé, afin le cadre d’accompagner le chef de l’État, d’être sur le terrain à travers des actions concrètes. Nous sommes donc allés voir l’état d’avancement de la construction de trois passerelles que nous avons entamée dans l’arrondissement. » a expliqué Félix Makindey Nze Nguema.
Dans cette perspective, le périple du cadre et sa délégation, composée de responsables communaux du PDG et de quelques figures politiques de la circonscription, a démarré au quartier Avéa 1 puis à Avéa 2, pour prendre fin au quartier Atsibe-Ntsos. Durant ce périple, plusieurs discussions ont eu lieu avec les habitants et leurs représentants.
Mettant à profit cette visite, les populations n’ont pas manqué de féliciter les efforts fournis par le fils de l’arrondissement pour l’amélioration de leur environnement immédiat. Elles ont également exprimé des observations et doléances diverses.
« Les populations ont demandé qu’on améliore certaines actions qui ont été posées, c’est ce que nous allons faire. Il était important, avant de boucler définitivement ce dossier, que nous ayons l’avis leur avis », a ajouté le généreux donateur.
Aussi, pour faire face aux méfaits des pluies torrentielles à venir, les populations ont-elles sollicité, en plus des passerelles en cours d’érection, que certaines zones où les canalisations ont été enterrées avec le temps soient à nouveau curées, ou reconstruites pour certaines, afin d’anihiler le phénomène récurrent d’inondation dans lesdits quartiers.
« On ne peut pas faire le bonheur des populations contre elles-mêmes. On doit le faire avec elles-mêmes. Et les orientations qu’elles donnent, les critiques qu’elles formulent, nous permettent d’améliorer le champ des possibles. » a conclu Makindey Nze Nguema.
Le gabonais