Libreville, (GM) — La figure de Tamara José Mengne Mbo, déjà marquée par des révélations sulfureuses, s’assombrit davantage avec des informations récentes sur sa situation juridique en France. Entre menaces d’expulsion, activités douteuses, et calomnies ciblées, son parcours soulève des interrogations sur ses motivations profondes et sa stratégie pour échapper à une justice qui semble se resserrer autour d’elle.

Une situation juridique délicate

Tamara José Mengne Mbo, dont le passé trouble depuis les années de lycée et poursuivies en France, fait désormais face à une décision d’expulsion du territoire français. Cette sanction, résultant de plusieurs méfaits ayant attiré l’attention des autorités locales, place la jeune femme dans une position critique.

Pour tenter d’échapper à cette mesure judiciaire, elle aurait sollicité à maintes reprises Bertrand Zibi Abeghe, ancien député et figure respectée, afin qu’il intercède auprès des autorités diplomatiques gabonaises. Cette requête, lourde de conséquences pour Zibi, démontre une tentative manifeste de détourner les institutions au profit de ses intérêts personnels.

La calomnie comme stratégie de survie

Face à l’échec de ses démarches, Tamara José Mengne Mbo semble avoir opté pour une stratégie plus insidieuse : multiplier les attaques virulentes contre des personnalités publiques gabonaises, notamment Bertrand Zibi Abeghe et le président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema.

Selon des observateurs, ces agissements relèvent d’un calcul politique. En adoptant une posture ouvertement hostile envers les autorités gabonaises, Tamara chercherait à se positionner comme une opposante persécutée, espérant ainsi obtenir un statut d’exilée en France. Cette démarche cynique, visant à exploiter les rouages de l’asile politique, jette une lumière crue sur l’instrumentalisation des causes humanitaires à des fins personnelles.

Un passé encombrant

Les vidéos compromettantes circulant sur les réseaux sociaux, ainsi que les révélations sur ses activités passées, fragilisent davantage l’image de cette dernière. Ces éléments, s’ajoutant à une interdiction bancaire prononcée en 2019 pour émission de chèques sans provision, dessinent le portrait d’une personnalité dont la crédibilité est sérieusement entachée.

Comment une personne avec un tel passif peut-elle prétendre donner des leçons de morale ou s’ériger en défenseuse des droits humains ? Cette contradiction flagrante alimente le scepticisme quant à la sincérité de ses intentions.

Une stratégie vouée à l’échec ?

La tentative de Tamara José Mengne Mbo de se présenter comme une victime du régime gabonais pourrait bien se retourner contre elle. Dans un contexte où les réseaux sociaux jouent un rôle clé dans la diffusion d’informations, la vérité finit invariablement par émerger.

Son acharnement contre Bertrand Zibi Abegue, homme intègre et respecté, ainsi que ses invectives contre le Président de la Transition, risquent de renforcer l’image d’une agitatrice cherchant désespérément à détourner l’attention de ses propres dérives.

Une leçon pour l’avenir

L’affaire Tamara MENGNE MBO illustre une réalité inquiétante : la montée en puissance de pratiques calomnieuses et manipulatrices dans les sphères publiques et numériques. Il appartient aux autorités gabonaises et au peuple de ne pas céder à ces manœuvres, de rester vigilants face aux tentatives de déstabilisation, et de privilégier la vérité sur les mensonges.

Quant à Bertrand Zibi Abegue, il reste fidèle à ses principes et à sa mission pour un Gabon juste et prospère. Face à la tempête, son intégrité demeure intacte, symbole d’un homme debout, guidé par la résilience et la détermination.

Tamara José Mengne Mbo, quant à elle, devra faire face à ses responsabilités et assumer les conséquences de ses actes. La quête d’un statut d’exilée, bâtie sur des calomnies et des manipulations, est une stratégie vouée à l’échec dans un monde où la vérité finit toujours par prévaloir.

Paul Nkori