Libreville, (GM)- Victime de son succès à la tête de la commission de la Communauté Économique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) le Pr. Daniel Ona Ondo attire depuis un certains temps les foudres de ses détracteurs. En effet, il fait l’objet de vives critiques dans plusieurs médias Camerounais. Parmi les récriminations faites à son égard l’on note, le choix de ses collaborateurs, les entreprises devant réalisé certains projets intégrateurs dans la sous-région et bien d’autres.

Ainsi, des individus enfouis tapis dans l’ombre n’hésiteraient pas à mettre de gros sous pour ternir l’image du Président de la commission de la CEMAC Pr. Daniel Ona Ondo.

La presse Camerounaise financée à coût de millions est l’une des parties prenantes à cette cabale de haut vol, le cas du journal “Le Pélican” titrant à propos : “Pourquoi Daniel Ona Ondo déteste-t-il autant les Camerounais ?”

Ces mercenaires de la presse Camerounaise sous l’impulsion de leurs commanditaires l’accusent notamment de communautarisme, manigance et corruption à la tête de la Commission de la CEMAC.

Rappelons qu’à son arrivée à la tête de cette institution sous-régionale le 2 novembre 2017 plusieurs responsables étaient en errance totale, il a su réparer cette discordance en logeant chacun à son enseigne, il a promu récemment 10 directeurs de la commission et la majorité d’entre eux sont d’origine camerounaise, il a obtenu auprès des bailleurs de fonds un financement de plusieurs milliards de nos francs pour le développement de la sous-région.

Selon certaines indiscrétions le gros du problème serait engendré par certains de ses collaborateurs Camerounais qui auraient perdu leurs privilèges longtemps obtenus sans fournir le moindre offert, le cas d’une prétendue chargée en communication qui réclamerait à Daniel Ona Ondo plus de 200 millions de FCFA d’aérés de salaires.

Pour ces mafieux convaincus que la commission de la CEMAC est leur vache à lait il faut faire mordre la poussière à ce dernier afin qu’il échoue.

Il n’a cessé de le répéter depuis son arrivée à la tête de cette institution, être la cible d’attaques de certains de ses collaborateurs incapables de dire un mot sur son rendement à une année de la fin de son mandat. Ces derniers sont plutôt axés sur sa gouvernance au point d’en faire large écho à chaque réunion des instances décisionnelles comme ce fut le cas les 2 et 3 Décembre 2021 lors de la réunion du Comité inter-Etats.

GM