Libreville, (GM)- En partenariat avec l’Institut français du Gabon, l’association artistique True legend crew organisera de février à juin, une fois par mois, Future freestylers. Une compétition de danse urbaine destinée aux enfants, aux femmes, aux élèves et aux professionnels de l’art
De février à juin prochain, l’Institut français du Gabon (IFG) accordera une place de choix à la promotion de la culture urbaine. Il est partenaire de l’association artistique True legend crew qui présentera durant cette période, la première édition de Future freestylers. Une compétition de danse urbaine déclinée en plusieurs catégories: Future freestylers kids pour les 6 à 15 ans, Future freestylers 100% féminin pour celles ayant le rythme dans la peau, Future freestylers élèves pour les scolarisés, Future freestylers professionnel pour les professionnels désirant tester leurs niveaux avec d’autres professionnels et, Future freestylers battle akatsuki pour les professionnels en quête d’une «expérience de malade».
Pour y participer, les candidats doivent s’inscrire en envoyant une vidéo sur le style urbain de leur choix aux adresses mises à disposition pour la circonstance dont la page Facebook du True legend crew. «Le but de ce programme est de promouvoir la formation artistique et la liberté de danser selon son style sa catégorie et de lutter contre l’oisiveté», font savoir les organisateurs.
L’évènement se déroulera en deux étapes, partant d’un show-case avec un artiste danseur ou groupe de danse de la déclinaison mensuelle et 16 participants retenus chaque mois par présélection sur Internet sur la base de la vidéo. Laquelle est triée par le jury et le public pour les face à face sur les nouvelles scènes de l’IFG.
Le True legend crew, troupe de danseurs urbains de 2009 à 2012, devenu une compagnie de danse de 2013 à 2016 et association en 2017, s’est spécialisé dans le «Krump, New styles, Ultimate dance, Urbane contemporain» et plusieurs autres styles de danse urbaine. L’association dit vouloir permettre aux danseurs urbains de vivre de leur art et attend donc un engouement particulier de leur part.
Source : Gabonreview