Libreville, (GM)- La fronde actuellement menée contre la gouvernance de l’actuel Premier ministre est-elle qu’on se demande si elle pourrait s’en sortir?
Comme des actions néfastes mais synchronisées, tous les petits plats sont mis dans les grands afin de diaboliser Rose Christiane Ossouka Raponda.
Une Mpongwé originaire de l’estuaire qui avait suscité l’espoir lors de sa nomination en juillet 2020.
Sans même chercher à l’aménager, on la jette en pâture tous les jours que Dieu a fait, et parfois avec des histoires montées de toute pièce.
A dire que l’on n’attaque cette dernière sur sa probité, ni même sur sa lutte contre la corruption ou elle se bat témoin beau diable pour assainir la gouvernance telle que voulue par Ali Bongo Ondimba.
Visiblement, c’est ce qui lui vaut l’animosité observée d’abord dans son propre camp politique ou les militants du parti démocratique gabonais peinent à sauver le gouvernement gabonais dont ils détiennent la majorité parlementaire.
A défaut de laisser libre court à cette dame de fer d’exécuter la vision du chef de l’état Ali Bongo Ondimba, on l’accuse de rage.
En réalité, la vérité est ailleurs, on veut tout simplement la remplacer pour perpétuer les basses besognes qui ont longtemps freinées l’administration centrale.
VYL